Journée d’automne; chronique d’un samedi après-midi

La table est mise. Par un samedi matin pluvieux, une quinzainne de photographe vaillant on rassemblé leur courage et son parti pour un endroit obscur du 450. Le point de rendez-vous, un sympathique café de Ste-Thérèse. Après questionnement et consultation de carte les safaristes sont arrivés au rendez-vous sans problème. Personne n’a été perdu dans les rue de Blainville a cause d’une mauvaise sortie.

Une fois au café, nos vaillants safariste, on cassé la croute et se sont remplies le ventre pour être près a affronté dame nature sur son territoire. La discussion était amicale et les sujets variés. On apprenait a connaitre les nouveaux venus et on souhaitait la bienvenue a une petite grenouille perdue de C-B, de vancouver plus précisément. Dehors, par les fenêtres, on pouvait voir une pluie battante et froide. Le comfort et la chaleur du café était le bienvenue.

Bon, mais toute bonne chose a une fin, l’appel du photographe se fait entendre et le fearless leader se lèvent et souhaites la bienvenue a tous. Il est grand temps d’y aller, malgré la pluie. Explication du trajet et de l’agenda terminé, la répartition des carosses faites, nous quittons snas peine notre douillet comfort pour affronter dame nature. Direction Bois de belle rivière, par les rangs et les routes de campagne. Objectif; prendre au moins trois photo d’automne en chemin vers notre destination, sans se perdre évidamment.

Alors, une course effrèné s’amorce, un peu comme le film Gumball rally, une succession d’autos qui se suivent et hop une auto arrête, 2ou 3 autres arrête aussi, on voit des photographes sortir, caméra a la main, le temps de quelque cliché. Les chiens aboie, les habitants se pose des questions et les citrouilles trouvent qu’il y a trop de paparazzi soudainement. Une fois les photos prise, c’est un nouveau départ, le pneu crisses, les phares arrières rougisse et ces la course effrèné jusqu’a l’objectif final, le bois de belle Rivière (a Mirabel).

Arrivé a destination, sain et sauf. Débarquement des photographes. Les dernières consigne sont donnés et malgré la faible pluie, c’est avec un sourire que tout le monde attaque notre premier sentier, l’arme a la main. Enfin on vas prendres des photos. Le vert, le jaune et le rouge se succède jusqu’au pavillon d’acceuil, un présentoir d’Automne avec pomme croquante nous souhaite la bienvenue, scène croqué a jamais par une canon, une olympus, une fudji. Nouvelle attroupemant de photographes. Des cartes sont demandé, le palabre débute. Bien, en réalité il y a juste Martin et Luc qui brise le silence presqu’abysal de ce lieux de recueillement et de ressourcement. Les cartes sont distribués, le silence revients peu a peu, a peine croyable, pour ceux connaissant nos joyeux safariste que sont Martin et Luc. La pluie recommence des plus belles, les parapluies sortes, les imperméables et les sacs ziplocs. On se protège tant qu’on peu. Quel journée pour aller prendre de la photo, on peste en silence le fearless leader pour ces idées brillantes, mais on continue. Mais un moment donné trop ces trops, un refuge est trouvé, petite pause, le temps que dame nature se calme un peu, on dirait qu’elle se fâche au dix minutes. Les discussion reprenne des plus belles, rire et discussion animés rebondissent sur le toit de notre abris comme l’eau de cette pluie d’automne.

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Dame nature ayant pleuré abondamment, fini par lâcher prise. Fearless leader mène le chemin, direction le bourg médieval.C’était avec une joie incommensurable que nos hôtes acceuillère cette ordre de safariste a leur bourg. Enfin, de quoi meublé notre après midi et jouer les rôles qui nous sont propres, pensait les acteurs de ce monde médieval. Explications et présentation faites, une martinette du 16 ième siècle, prend Martin et Luc par la main et les ammènes tout en chantant et dansant vers le villages des schtroumpfs. Nos deux lurons étaient abasourdi, d’habitude c’est a travers l’objectif d’une caméra qu’ils observent la migration des martinettes, jamais de si près….

Pour la prochaine heure, nos safaristes déambulent, dans le petit bourg, fasciné par les différentes possibilité de photos, cliquant et accumulant les clichés sur leur petite carte magiques. Le forgeron, la boulangère, le maitre archer recoivent la visite de nos safaristes. Discussion, rire et clic clic se font entendre. Les acteurs de la scène, eux sont un peu confondu par contre et se demande pourquoi tout d’un coup comme ça , par un samedi pluvieux, tous les visiteurs on des caméras plus grosse d’une personne a l’autre. Mais finalement accèpte le fait et se plie au jeu. On annonce la danse, Linda saute de joie, vite elle se cherche une table, nous voyons Martin, Luc, Sylvain, Marc, Sébastien et les autres se précipité vers Linda, pour l’arrêter et lui expliquer que ce n’est pas cette sorte de danse qu’on se prépare a faire, mais bien une danse médieval.Sur ce, Linda comprend, redescent de la table, a l’aide des main chaleureuse de ces vaillants chevaliers, toujours petillantes et trépidantes a la pensé de dansé. La recherche d’un partenaire fut tout autre chose par contre, les chevaliers en puissance,prétextant toute une tâche a faire, se désistaire un a un. Faut croire que ça pas beaucoup changé entre le 16ième siècle et aujourd’hui…

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C’est avec tristesse que nos merveilleux hôtes nous virent quitté leur enceinte peut a peut. Mais…. pour ces safaristes, l’appel de la nature, du rouge et du jaune, était trop fort. Le temps d’aller se promener dans les sentiers etait trop fort.

C’est par petit groupe que le groupe se séparra et entami la découverte de la forêt magique. La pluie avait cessé, dame nature n’a pas réussi a découragé ce groupe de vaillant photographe, elle abandonna ces tactiques de guérilla et nous laissa tranquille pour le reste de la journée.Au grand soulagement du fearless leader.

Tiens, mais ou est Humanoide… Celui ci, émerveillé par la beauté des lieux, faisait travaillé frénétiquement le déclencheur de sa nouvelle Canon S5. Il n’avait pas remarqué que ces compagnons d’arme avait quitté les lieux et se poussait vers d’autres sentiers. Mais bon, il est habitué et tel un personnage de comte d’enfant, il finis toujours par retrouvé ces compagnons d’armes 500 clichés plus loin.

Pour le reste de l’après midi, la tranquilité des boisés est interompu par le clique des caméras et les quelques rires de Guy raisonnant a travers les tronc d’arbres, tout est merveilleux, le bonheur et l’enchantement total, les résultats seront beau a voir, ces certains.
Mais comme toute choses a une fin, la fin de cette journée au bois approches. Les vaillants photographes qui ont osé affronté les éléments, se retrouvent tous par après, presque dans les pommes a l’entré du parc, au pavillon d’acceuil. On attend les derniers, mais ou est donc Sylvain…En attendant, la discussion fait rage sur des sujets variés. Linda parle du beau visage de Martin, Maryse Diane et Marc parle de pomme. Adrian, le brave qu’il a été, se repose le dos assis sur un banc la tête accoté sur un piquet.

On this fence, I lay my head to rest... PA061090

André, savoure la tranquilité, tout en pensant a la montagne de travaux a corrigé qui l’attend, souhaitant que le temp arrête un peu plus longtemp. Mais l’heure du départ est la, et ces avec tristesse mais avec la satisfaction d’une belle journée et d’une victoire assuré sur dame nature que nous quittons la forêt enchanté pour le monde trépidant du 450 et notre souper d’adieu.

Souper qui a eu lieu au Vieux four a Ste-Thérèse (commandite) ou nous fumes fort bien acceuillie d’ailleurs. Repas gargantuesque, arrosé de bière et de vin, concerto pour verre a vin en E majeur par le maestro Lycid agrémentait les discussions animés.On se remémorrait la journée en regardant nos meilleurs « shot » Wow, regarde ça. Haa je l’ai vraiment réussi. ou bien, j’ai bien hâte de la voir a l’écran celle la. Quelques un ayant le doigt encore frétillant, continu de prendre des photos des compagnons, des verres, des miettes de pain, du beurre, du vin, de la pizza…. refusant de déposer les armes. Comme les vaillants safaristes qu’ils sont.

Mais comme toute bonne chose a une fin, le dessert avalé, le café bu, l’addition payé, le temps de se quitter arriva. C’est non sans peine, que les derniers sourires furent échangé, les derniers rires entendue, encore un flash et voila, on se dit tous a la prochaine et on retourne tous a la maison, content d’avoir bravé les élèments et d’avoir osé faire de la photo en cette triste journée d’automne, nos bagages remplies de belles et nouvelles amitiés.

Merci a tous pour avoir mis de la couleur dans cette journée pluvieuse d’automne. La journée fut enrichissante et agréable, comme toujours.Et voila ce qu’est photo Safari Montréal. Merci.

Marc Derome

Pour plus d’information sur Photo Safari Montréal aller aux liens suivants;

http://www.photosafarimontreal.ca

 

~ par Marc Derome sur 11 octobre, 2007.

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